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Miss seins nus suite 1

 
Post #1


Miss seins nus suite 1Au petit matin, je me réveille avec une envie matinale d'aller aux toilettes. Alain dors encore. Délicatement, je descends la fermeture à glissière de notre sac de couchage. J'en profite pour admirer son beau corps endormis et nu. Son sexe au repos est recroquevillé sur ses cuisses musclées. J'en suis toute attendrie. Je me glisse silencieusement hors de la tente. Je me dirige vers les toilettes et sur le chemin, plusieurs personnes me sourient et m'appelle par mon prénom. Il faut dire que je suis célèbre dans tout le camping désormais ! Comme promis, je suis nue. La plupart des résidents sont très gentils avec moi. Arrivée aux toilettes, je tombe sur un nouveau venu au camping. Surpris par ma tenue, il m'en demande les raisons. Je lui explique alors mon engagement. Amusé, il profite sur-le-champ de l'aubaine par un pelotage de mes fesses. Puis encouragé par mon sourire, il continue par une longue caresse sur ma chatte et mes seins qu'il malaxe trop sévèrement à mon goût. Bien entendu, je m'offre sans réticence à ce traitement. Je ne suis pas inquiète et je goûte sans bouder mon plaisir aux caresses intimes prodigué par ce bel homme. Cependant, l'envie d'uriner me taraude toujours. Je lui fais part de ce besoin naturel afin qu'il me laisse entrer dans les toilettes toutes proches. «*Allons derrière l'arbre, tu pourras uriner pendant que je te caresse*». D'abord surprise par cette proposition inattendue, je refuser, mais les caresses de cet inconnu m'électrisent et je souhaite qu'elles continuent encore. Je fini donc par accepter. Me voici donc accroupie en train d'uriner devant un inconnu qui me pétrie fesses et poitrine comme du bon pain. Lorsque le jet de pipi jaillit, l'homme se place en face de moi pour admirer ma fontaine et me féliciter pour le spectacle. Puis il s'en va, non sans m?avoir donné une bonne claque sur les fesses. C'est une douche froide qui me remet de mes émotions. Je me rends ensuite à la supérette pour prendre des croissants pour le petit déjeuner. Le gérant m'accueille. Lors de la soirée d'élection, il avait marqué une nette préférence pour moi, et continuait à me montrer son intérêt par des caresses que je ne pouvais bien sûr pas refuser. Encore une fois, il profita de la situation. Il me demande de monter à quatre pattes sur le comptoir. Puis il prend un plumeau en vente dans le magasin, et entreprend de me caresser méthodiquement avec cet instrument. Je me cambre au maximum pour recevoir ses douces caresses au creux des reins, sur la poitrine, et de temps en temps entre les cuisses. Au début, je redoute l'arrivé d'autres clients. Mais au bout de cinq minutes de ce traitement, toutes mes inhibitions ont sauté. Je ne pense plus qu'au plaisir que je reçois, les yeux fermés et le sexe humide. Mes seins pendent, les pointes érigées. Les cuisses légèrement écartés, j'attends avec impatience l'arrivée du plumeau dans cette zone particulièrement sensible. Mais le gérant sait y faire. Il titille ma peau en maints endroits et passe de manière fugace entre mes jambes écartés. Ainsi, je demeure folle de désir inassouvie, offerte sur le comptoir.Lorsque je rouvre mes yeux, plusieurs clients sont là et m'observent. Honteuse, je bredouille en commençant à descendre du meuble. Mais la main ferme du gérant m'y maintient. Il s'écrie : «* Elle est bien chaude, qui veut la caresser ?*» Plusieurs mains viennent alors remplacer le plumeau. Un petit homme ventripotent glisse sa main sur ma chatte et récupère un peu de mon liquide intime. Honteuse, je dois endurer leurs remarques.«* C'est vraiment une pute, elle aime ça !*» Enfin, j'ai le droit de redescendre. Je m'empare alors des croissants que j'étais venu chercher et part sans demander mon reste toute excitée du traitement que je viens de recevoir. En chemin vers la tente, trois autres campeurs me caressent copieusement et le dernier me pince les tétons tellement forts que je pousse un petit cri de douleur.Les larmes aux yeux, je regagne la tente. Alain est réveillé. Je lui tends les croissants et l'embrasse avec fougue car mes divers périples de la matinée m'ont échauffée. Il m'enfourche immédiatement, ainsi qu'il le fait habituellement. Il s'enfonce en moi avec facilité et me couvre de baiser. Il entreprend deux aux trois mouvements de piston, aux termes desquels il se vide en saccades intenses. Je suis heureuse de lui avoir donné du plaisir et de m'être offerte à lui. Je ne suis le réceptacle que du sperme de mon mari ! Seul lui a le droit de me posséder complètement. Cette pensée me réconforte. Je me laisse aussi aller à une légère somnolence, lorsque la fermeture à glissière de la tente s'ouvre. Le visage d'un garçon que j'avais déjà vu apparaît. Il me fait " Pssssit, psitt ! ". Je lui fais signe de ne pas faire de bruit car mon mari dort. Toujours par signe, il me fait comprendre que je dois sortir de la tente. Pour ne pas risquer de réveiller Alain, j'obtempère. Lorsque je suis dehors, je me rends compte que le sperme de mon mari coule un peu sur mes cuisses.Mais je ne peux pas les essuyer, car un groupe de trois jeunes m'observe.«*Que voulez vous*?*»«*Bien on veut s'amuser avec toi*! Puisque tu es là pour nous satisfaire*!*»Ils m'entraînent alors dans la forêt toute proche pour être tranquilles. Lorsque nous sommes arrivés dans une petite clairière, un des garçons voit le liquide qui me macule les cuisses. «*Mais tu viens de te faire sauter salope*! T'as du sperme qui coule de ta chatte*!*Nous aussi on va te farcir salope*!»«*Vous pouvez me caresser autant que vous voulez, mais je refuse d'être pénétrée par un autre que mon mari*!*»Déçus de ce demi-échec, ils se ratt****nt rapidement sur les caresses les plus intimes, qu'ils me prodiguent avec fort peu de délicatesse. Leurs manques d'expériences est flagrants. Je me laisse aller, sous leurs doigts et mouille abondamment. Je me tortille dans l'herbe, les yeux mi-clos. A trois, ils ne me laisse pas beaucoup de répit. Je ne suis pas seule à m'échauffer. Mes trois protagonistes, ont ôtés leurs habits et dévoilent trois magnifiques érections. Je sens le danger de cette situation. Même nue et échauffée, je me refuse d'offrir ma chatte. Il me reste la possibilité de les sucer à tour de rôle. Je prends alors l'initiative.«* Maintenant que vous m'avez caressé je vais vous sucer mais pas question d'éjaculer dans ma bouche.*» Tout excités, ils ne se le font pas dire deux fois. Je me met à les sucer à tour de rôle. C'est une première aussi pour moi d'avoir trois queues juvéniles à sucer*. Le plus âgé me dit cependant : «* Je veux te baiser grosse salope*!*». Je refuse, bien sûr. Mais l'idée fait son chemin dans sa tête. Mais mon beau brun s'est subrepticement placé à genou entre mes jambes et je ne peux pas me reculer car un autre me prend la tête pour maintenir sa queue au fond de ma gorge. Réalisant la situation, je bredouille des mots inintelligibles. Il en profite pour présenter sa queue à l'entrée de ma grotte trempée et d'un coup, il me pénètre. Son excitation étant au comble, il ne peut se retenir plus longtemps et éjacule aussitôt. Un autre alors m'éjacule sur le visage. Le troisième se lâche lui au fond de ma gorge me faisant hoqueter. Je suis vraiment couverte de sperme. Ils m'aident à me relever et se rhabillent tout en me remerciant et s'éloignent. «*Merci Michèle*! A bientôt on reviendra pour te baiser*!*»L'urgent est pour moi de me laver. Comment faire pour aller jusqu'aux douches discrètement alors que je suis couverte de sperme. Je décide de faire le tour du camping par la lisière du bois pour arriver aux douches par l'arrière. Une cabine est libre. Je prends donc mon courage à deux mains et sort du couvert pour me précipiter vers elle. Un savon, oublié là, me sert pour me nettoyer soigneusement. Alors que je me frotte énergiquement, la porte s'ouvre brusquement. L'homme à tout faire du camping vient avec sa trousse à outil effectuer une réparation. Tout d'abord, par habitude, il s'excuse et esquisse un mouvement vers la sortie. Mais m'ayant reconnue, il se retourne et me dit*:«*Bonjour*! Tu es Michèle, la salope de service*?*»Je lui répond un timide*:«*Oui Monsieur.*»«*Je viens réparer le loquet. Comme de toute façon, vous êtes comme ça tout le temps, je ne pense pas que cela vous gêne si je fais le travail pendant votre douche ?*»Puis, sans attendre ma réponse, il commence à sortir ses outils. Ne pouvant faire autrement, j'en prends donc mon parti. Une foi la réparation effectué, il me fait face et*: «*Après l'effort, le réconfort ! Approche-toi, ma belle !*». Encore une fois, les caresses reprennent. Il ne me reste plus qu'à le laisser faire, non sans répugnance car l'homme n'est absolument pas à mon goût. Tout d'abord, il m'empoigne la poitrine et martyrise mes seins et mes tétons en me disant*:«*Tu aimes ça, hein putain?*»Je préfère ne pas répondre. Cependant, je lâche plusieurs fois des petits cris de douleurs, qui manifestement le réjouissent. Puis il met sa main sur mon sexe et me malaxe durement me pinçant le clito jusqu'à que je crie. Il relâche la pression et recommence plusieurs fois. De son autre main, il balade son index autour de ma rondelle. Je ne sais pas quoi faire. D?un côté, il est de mon devoir de remplir mes engagements, mais d'un autre côté, jamais je n'ai subi pareils outrages. Je tente tout de même de le calmer par quelques paroles*:«*Doucement, vous n'êtes pas obligé de me faire mal !*» Cette phrase fait un peu d'effet. L'index de sa main gauche commence à tester l'élasticité de mon anus. Au bout de quelques minutes de ce traitement, mon sexe douloureux coule doucement de mon liquide intime. Les jambes écartées pour goûter encore plus aux caresses, je m'offre sans retenue. Soudain, son majeur force mon anneau. Après le travail préparatoire de mon petit trou, l'introduction est aisée, et son doigt me pénètre l?anus jusqu'à la garde en une seule poussée. Je ne sais pas jusqu'où il m'aurait conduite si nous n'avions pas été dérangés par le gérant du camping. L'homme se retire brusquement, rince ses mains sous l'eau, puis sort de la douche en laissant la porte ouverte, comme si de rien n'était. Cette sortie n'échappe évidemment pas à plusieurs estivants et j'ai droit à plusieurs remarques assez blessantes.«*toujours le feu au cul cette pute. Une vrai chienne en chaleur*!*» Je pars donc sous les quolibets et cours vers la tente. Alain m'a laissé un mot :«*Je suis à la plage.*».
04-06-2021, at 08:23 PM
Alýntý
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